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Qu'est-ce qui rend la "Mère Sauvage" une nouvelle inoubliable ?
Rédaction de Julien Quentin
Qu’est-ce qui rend ‘La Mère Sauvage’ une nouvelle inoubliable? (rédaction de R.)
‘La Mère Sauvage’ est une nouvelle choquante et froidement violente, où l’action nous rappelle l’horreur impitoyable de la guerre en plus de ses effets désastreux, ce qui rend l’histoire inoubliable. Maupassant utilise une variété de techniques, comme une structure récit-cadre qui produit de la tension, et fait que nous nous sentions attachés à tout les personnages, et un style directe qui souligne la cruauté de l’acte, pour créer des effets puissants.
Bien que l’histoire commence à la première personne, elle change rapidement à un autre narrateur qui est omniscient, ce qui produit de la distance entre l’histoire et le lecteur en faisant que l’histoire devienne presque une légende et comme ça augmentant son importance comme une nouvelle particulièrement tragique car on parle encore sur l’action du conte bien après que les événements se soit déroulés. De plus, la description du pays du point de vue du narrateur, le paysage ayant un “charme sexuel” et est donc décrit comme s’il s’agissait d’un paradis perdu, contraste avec l’atmosphère sombre de la guerre (ce qu’on voit par la présence des couleurs obscures come “noir” et “gris”). Ceci fait que le lecteur se souvienne que la vie durant la guerre est très différente a celle du présent, ce qui pourrait peut-être expliquer les décisions objectivement incompréhensibles de la mère. Donc, l’atmosphère de souffrance fit que l’histoire soit encore plus frappante, et ainsi inoubliable.
La description de la Mère Sauvage est celle d’une femme sévère et stricte, car elle est “triste et bornée”. Son caractère masculin, où elle supprime les émotions et elle n’a pont appris le mouvement de rire” est juxtaposée avec la tendresse qu’elle montre envers son fils, où elle “pensait sans cesse au sien”, et ses convictions maternelles font que le lecteur la trouve aimable. En plus, les femmes qui sont mères se sentent attachées à elle et comprennent sa douleur quand on apprend qu’il a été violemment tué, la spécificité de “coupé un deux” étant très visuel. Cette compassion fait que la réaction du lecteur envers ses actions à la fin soit très complexe, car ils comprennent que c’est un acte d’amour. Ainsi, la sauvagerie dont elle fait preuve en assassinant froidement quatre soldats innocents de façon préméditée, et le fait qu’elle se montre calme et tranquille quand elle le confesse en disant “c’est moi qui l’a mis” devient encore plus choquant et donc, inoubliable. Ce paradoxe se voit même dans le titre “La Mère Sauvage” car sa caractérisation maternelle juxtaposée avec ses actions agressifs créent un effet d’annonce. De plus, le fait qu’elle soit “sauvage” et donc, presque inhumaine, nous présente une ironie après qu’elle a été décrite de façon tellement humaine. Contextuellement, l’idée qu’une femme soit capable d’assassiner quelqu’un avec tellement de barbarie était fondamentalement choquant et fait que l’histoire soit inoubliable, ce qui est augmenté par le respect perverts que le lecteur ressent envers elle par la dignité de sa mort, ce que le narrateur démontre dans l’oxymoron “héroïsme atroce”. Donc, la combinaison de sa vengeance froide et sa manque de sense de culpabilité font que l’histoire soit inoubliable.
Par contre, ce respect est mélangé avec avec une compassion immense pour les jeunes Prussiens, ce que le narrateur renforce lorsqu’il finit l’histoire en se souvenant des “mères des quatre doux garçons”. Alors on se souvient que la Mère Sauvage n’est pas la seule femme à perdre son unique unique raison de vivre et notre compassion pour elle diminue énormément. Donc, il existe de nombreuses victimes collatérales de la guerre- Victor, la Mère Sauvage, les Prussiens, et leur mère, ce qui nous rappelle l’horreur et la sottise de la guerre et ainsi, l’histoire devient profondément marquante. L’humanité des Prussiens qui la traitent avec de la tendresse et de la compassion et s’occupent d’elles en “lui épargnant” en plus de la description presque angélique de leur “chair blanche, à la barbe blanche, aux yeux bleus” nous démontre leur jeunesse et leur innocence, et cette compréhension envers l’ennemie font que l’histoire soit inoubliable car il existe tellement de sympathie pour les victimes.
En conclusion, la violence de la fin du livre crée des sentiments complexe chez les lecteur envers l’histoire, et cette combinaison de brutalité, de compassion, et de dignité produit une impression particulièrement choquante dans la tête du lecteur, ce qui fait que l’histoire devienne réellement unique et inoubliable.
‘La Mère Sauvage’ est une nouvelle choquante et froidement violente, où l’action nous rappelle l’horreur impitoyable de la guerre en plus de ses effets désastreux, ce qui rend l’histoire inoubliable. Maupassant utilise une variété de techniques, comme une structure récit-cadre qui produit de la tension, et fait que nous nous sentions attachés à tout les personnages, et un style directe qui souligne la cruauté de l’acte, pour créer des effets puissants.
Bien que l’histoire commence à la première personne, elle change rapidement à un autre narrateur qui est omniscient, ce qui produit de la distance entre l’histoire et le lecteur en faisant que l’histoire devienne presque une légende et comme ça augmentant son importance comme une nouvelle particulièrement tragique car on parle encore sur l’action du conte bien après que les événements se soit déroulés. De plus, la description du pays du point de vue du narrateur, le paysage ayant un “charme sexuel” et est donc décrit comme s’il s’agissait d’un paradis perdu, contraste avec l’atmosphère sombre de la guerre (ce qu’on voit par la présence des couleurs obscures come “noir” et “gris”). Ceci fait que le lecteur se souvienne que la vie durant la guerre est très différente a celle du présent, ce qui pourrait peut-être expliquer les décisions objectivement incompréhensibles de la mère. Donc, l’atmosphère de souffrance fit que l’histoire soit encore plus frappante, et ainsi inoubliable.
La description de la Mère Sauvage est celle d’une femme sévère et stricte, car elle est “triste et bornée”. Son caractère masculin, où elle supprime les émotions et elle n’a pont appris le mouvement de rire” est juxtaposée avec la tendresse qu’elle montre envers son fils, où elle “pensait sans cesse au sien”, et ses convictions maternelles font que le lecteur la trouve aimable. En plus, les femmes qui sont mères se sentent attachées à elle et comprennent sa douleur quand on apprend qu’il a été violemment tué, la spécificité de “coupé un deux” étant très visuel. Cette compassion fait que la réaction du lecteur envers ses actions à la fin soit très complexe, car ils comprennent que c’est un acte d’amour. Ainsi, la sauvagerie dont elle fait preuve en assassinant froidement quatre soldats innocents de façon préméditée, et le fait qu’elle se montre calme et tranquille quand elle le confesse en disant “c’est moi qui l’a mis” devient encore plus choquant et donc, inoubliable. Ce paradoxe se voit même dans le titre “La Mère Sauvage” car sa caractérisation maternelle juxtaposée avec ses actions agressifs créent un effet d’annonce. De plus, le fait qu’elle soit “sauvage” et donc, presque inhumaine, nous présente une ironie après qu’elle a été décrite de façon tellement humaine. Contextuellement, l’idée qu’une femme soit capable d’assassiner quelqu’un avec tellement de barbarie était fondamentalement choquant et fait que l’histoire soit inoubliable, ce qui est augmenté par le respect perverts que le lecteur ressent envers elle par la dignité de sa mort, ce que le narrateur démontre dans l’oxymoron “héroïsme atroce”. Donc, la combinaison de sa vengeance froide et sa manque de sense de culpabilité font que l’histoire soit inoubliable.
Par contre, ce respect est mélangé avec avec une compassion immense pour les jeunes Prussiens, ce que le narrateur renforce lorsqu’il finit l’histoire en se souvenant des “mères des quatre doux garçons”. Alors on se souvient que la Mère Sauvage n’est pas la seule femme à perdre son unique unique raison de vivre et notre compassion pour elle diminue énormément. Donc, il existe de nombreuses victimes collatérales de la guerre- Victor, la Mère Sauvage, les Prussiens, et leur mère, ce qui nous rappelle l’horreur et la sottise de la guerre et ainsi, l’histoire devient profondément marquante. L’humanité des Prussiens qui la traitent avec de la tendresse et de la compassion et s’occupent d’elles en “lui épargnant” en plus de la description presque angélique de leur “chair blanche, à la barbe blanche, aux yeux bleus” nous démontre leur jeunesse et leur innocence, et cette compréhension envers l’ennemie font que l’histoire soit inoubliable car il existe tellement de sympathie pour les victimes.
En conclusion, la violence de la fin du livre crée des sentiments complexe chez les lecteur envers l’histoire, et cette combinaison de brutalité, de compassion, et de dignité produit une impression particulièrement choquante dans la tête du lecteur, ce qui fait que l’histoire devienne réellement unique et inoubliable.
QU’EST-CE QUI REND ‘LA MÈRE SAUVAGE’ UNE NOUVELLE INOUBLIABLE? (Rédaction de C.)
Un bon conte doit être précis et clair dans es descriptions, le style et la capacité de toucher les lecteurs. ‘La Mère Sauvage’ a toutes ces qualités ce qui rend la nouvelle remarquable.
Maupassant écrit ce conte avec une introduction pas comme dans ses autres histoires. Ici, le narrateur fait partie de l’histoire, “je n’étais pas revenu” en parlant d’après la guerre. Les lecteurs, grâce à ce type de narration se sentent plus proches de lui car ils en savent aussi peu sur “Virelogne”. Au début, le titre causera un impact sur les lecteurs car une mère typique est délicate, généreuse… Cependant, ici il y a un indice au fait que la mère du conte n’est pas similaire au stéréotype maternel; “sauvage” nous choque. Après avoir lu ce récit, on ne trouve pas que le titre soit forcé- au contraire- je le considère une réflexion véritable des juxtapositions introduites comme l’ordre et la guerre, la famille et l’ennemi ou notre capacité de bloquer certains sentiments.
Pour moi, ‘La Mère Sauvage’ est pleine d’ambiguïté parce que le langage nous laisse imaginer quelques détails comme ces femmes qui “n’ont point appris les mouvement de rire”. Le verbe “rire” nous emmène à essayer de comprendre leur vie et Maupassant est capable de réussir à créer des rapports entre ces femmes si misérables et nous (qui lisons le conte). À la fin, on peut comprendre pourquoi elles ne sourient pas; cette mère a perdu son fils dans la guerre. Il est clair dans la nouvelle que malgré “le visage tellement impassible” elle est en train de devenir la mère “sauvage”. L’adjectif “impassible” est véritablement horrifiant car il démontre l’effet des morts injustifiées dans leurs familles. La misère peut nous amener à trouver ces actes comme des incendies ou des assassinats justes. Ainsi, il est évident que cette nouvelle est inoubliable pour tous parce qu’elle nous oblige à penser à notre entourage si fragile en temps de guerre et notre condition précaire dans la vie. C’est l’introspection des lecteurs qui transforme une bonne histoire en excellent conte impossible à oublier.
D’un côté, la nouvelle est vraiment unique car les Prussiens ne sont pas des personnages détestés oar les lecteurs. Ils “lui épargnent” du travail, en l’aident comme une manière de la remercier, même s’ils sont des ennemis dans cette guerre. Ici, Maupassant nous fait penser à l`humanité des gestes qui indiquent qu’ils ne sont pas des monstres sans coeur. Ce qui est inoubliable c’est qu’on arrive à trouver l’opposition sympathique alors que, typiquement, on pense qu’on doit les imaginer presque inhumains. On trouve que cette manière de penser nous permettrait d’accepter leur mort néanmoins Maupassant fait justement le contraire! Il nous présente les soldats Prussiens comme s’ils étaient des anges, alors on trouve la fin du conte désastreuse ce qui renforce la surprise du lecteur et rend ce conte difficile à oublier.
Un autre partie du conte qui surprend les lecteurs est l’utilisations des couleurs. Maupassant est efficace tout au long de l’histoire cependant la description de l’incendie est spécifiquement truculente. “Une clarté violente” peut être écoutée par les lecteurs quand on s’immerse dans l’histoire. Le mot “violente” indique les mesures si extrêmes dont la mère a besoin pour faire taire la douleur qu’elle sent. On peut identifier cela aussi au moment où on voit “un éclatant rayon sur la neige”. La mention de la “neige” est une suggestion transparente de la nature des humains qui est pure, de l’innocence, de la simplicité. Tous ces facteurs humains sont corrompus à travers l’”éclatant rayon”; une démonstration terrifiante de la réalité de la guerre. Maupassant, d’une manière remarquable, mélange la nature, la famille et la guerre; ce qui provoque un contraste unique, captivant et mémorable.
Alors, ‘La Mère Sauvage’ est une nouvelle inoubliable à cause du langage utilisé, des descriptions, du contraste entre le début et la fin, l’ambiguïté et le fait que c’est un texte qui emmène les lecteurs à considérer leur propre perspective sur des thèmes si importants comme la violence, la misère, la famille, le peur, la vie et la mort.
Un bon conte doit être précis et clair dans es descriptions, le style et la capacité de toucher les lecteurs. ‘La Mère Sauvage’ a toutes ces qualités ce qui rend la nouvelle remarquable.
Maupassant écrit ce conte avec une introduction pas comme dans ses autres histoires. Ici, le narrateur fait partie de l’histoire, “je n’étais pas revenu” en parlant d’après la guerre. Les lecteurs, grâce à ce type de narration se sentent plus proches de lui car ils en savent aussi peu sur “Virelogne”. Au début, le titre causera un impact sur les lecteurs car une mère typique est délicate, généreuse… Cependant, ici il y a un indice au fait que la mère du conte n’est pas similaire au stéréotype maternel; “sauvage” nous choque. Après avoir lu ce récit, on ne trouve pas que le titre soit forcé- au contraire- je le considère une réflexion véritable des juxtapositions introduites comme l’ordre et la guerre, la famille et l’ennemi ou notre capacité de bloquer certains sentiments.
Pour moi, ‘La Mère Sauvage’ est pleine d’ambiguïté parce que le langage nous laisse imaginer quelques détails comme ces femmes qui “n’ont point appris les mouvement de rire”. Le verbe “rire” nous emmène à essayer de comprendre leur vie et Maupassant est capable de réussir à créer des rapports entre ces femmes si misérables et nous (qui lisons le conte). À la fin, on peut comprendre pourquoi elles ne sourient pas; cette mère a perdu son fils dans la guerre. Il est clair dans la nouvelle que malgré “le visage tellement impassible” elle est en train de devenir la mère “sauvage”. L’adjectif “impassible” est véritablement horrifiant car il démontre l’effet des morts injustifiées dans leurs familles. La misère peut nous amener à trouver ces actes comme des incendies ou des assassinats justes. Ainsi, il est évident que cette nouvelle est inoubliable pour tous parce qu’elle nous oblige à penser à notre entourage si fragile en temps de guerre et notre condition précaire dans la vie. C’est l’introspection des lecteurs qui transforme une bonne histoire en excellent conte impossible à oublier.
D’un côté, la nouvelle est vraiment unique car les Prussiens ne sont pas des personnages détestés oar les lecteurs. Ils “lui épargnent” du travail, en l’aident comme une manière de la remercier, même s’ils sont des ennemis dans cette guerre. Ici, Maupassant nous fait penser à l`humanité des gestes qui indiquent qu’ils ne sont pas des monstres sans coeur. Ce qui est inoubliable c’est qu’on arrive à trouver l’opposition sympathique alors que, typiquement, on pense qu’on doit les imaginer presque inhumains. On trouve que cette manière de penser nous permettrait d’accepter leur mort néanmoins Maupassant fait justement le contraire! Il nous présente les soldats Prussiens comme s’ils étaient des anges, alors on trouve la fin du conte désastreuse ce qui renforce la surprise du lecteur et rend ce conte difficile à oublier.
Un autre partie du conte qui surprend les lecteurs est l’utilisations des couleurs. Maupassant est efficace tout au long de l’histoire cependant la description de l’incendie est spécifiquement truculente. “Une clarté violente” peut être écoutée par les lecteurs quand on s’immerse dans l’histoire. Le mot “violente” indique les mesures si extrêmes dont la mère a besoin pour faire taire la douleur qu’elle sent. On peut identifier cela aussi au moment où on voit “un éclatant rayon sur la neige”. La mention de la “neige” est une suggestion transparente de la nature des humains qui est pure, de l’innocence, de la simplicité. Tous ces facteurs humains sont corrompus à travers l’”éclatant rayon”; une démonstration terrifiante de la réalité de la guerre. Maupassant, d’une manière remarquable, mélange la nature, la famille et la guerre; ce qui provoque un contraste unique, captivant et mémorable.
Alors, ‘La Mère Sauvage’ est une nouvelle inoubliable à cause du langage utilisé, des descriptions, du contraste entre le début et la fin, l’ambiguïté et le fait que c’est un texte qui emmène les lecteurs à considérer leur propre perspective sur des thèmes si importants comme la violence, la misère, la famille, le peur, la vie et la mort.