¨Décrivez le comportement de l’officier prussien envers les voyageurs de la diligence dans Boule de Suif. Est-il un membre typique de l’armée d’occupation?
Les lecteurs font la connaissance de l’armée des envahisseurs à travers les contes et les yeux de Maupassant dans ‘Boule de Suif et autres contes…’. On peut noter, dans les contes le sousis du ‘Naturaliste’ Maupassant d’observer la situation des participant avec une objectivité, même s’il était du côté Français. C’est pour cette raison que les contes donnent une image très differente selon la position du personaje décrit, et pas une vision trop généralisée à l’armée d’occupation globale.
Maupassant semble étre de l’idée que les seuls promoteurs de la guerre étaient les riches et puissant, s’ils étaient Français où Allemands. Il y a une identification de la brutalité et violence de l’invasion et occupation avec la classe d’officiers Prussiens, parce que les soldats Prussi©ens sont considérés sous une lumière très differente. On peut voir l’intervention de l’opinion de Maupassant dans les sages mots de Mme Follenvie dans ‘Boule de Suif’- ‘ça ne les amuse pas la guerre…’ quand elle parle des soldats Prussiens pauvres leer donne un aspect très humain. Elle continue avec ‘c’est les grands qui font la guerre’- autre reflet des idées de Maupassant.
Cependant, comme j’ai mentionné avant les officiers Prussiens sont generalisés et on leer attribue une image d’arrogance face aux vaincus. Ils n’ont rien à faire avec ‘les Quatre bons fils’ qui aident la Mère Sauvage ou le pacifiste extremement et même bizarrement humain, Walter Schnaffs, qui n’a aucune chose qu’il regrette moins que la bonne nourriture.
Le Prussien dans Boule de Suif est un personaje inactif, qui transmet ses ordres et désirs avec la voix de M. Follenvie. Cependant, déjà physiquement, c’est une caricature du typique membre qu’on peutÙ si’mmaginer d’un membre de l’armée d’occupation, ‘dans son uniforme comme une fille en son corset’. C’est une image ridicule, mais c’est aussi la cause du sentiment de pouvoir dans les Prussiens dans les contes de Maupassant. Le Prussien profite de sa position de pouvoir pour traiter les voyageurs comme il a envie de le faire.
Quand Loiseau essaie d’étabblir la conversation l’autre, insolent comme les gens tout puissant, le ‘regarda sans répondre’.
L’officier semble pratiquement se moquer des voyageurs. Il prend tout son temps sans dire rien, pour manger tranquillement. Il savoure le fair qu’il a ces personnes dans sa main, qui dependent compltement de ses décisions. Il blague même les croyances morales et les principes naturels dans un humain parce que, dans la position du vainqueur, il sent qu’il peut abuser de son pouvoir pour traiter les femmes du côté vaincu comme un prix, un objet ‘‘mérité’’.
L’arrogance de cet homme n’est pas trop differente à célà qui peut étre rémarquée dans l’histoire ‘Un Duel’, quand l’officier Prussien essaie de faire accepter un homme. C’est un jeu perverti. qui semble éter joué par le Prussien dans ‘Deux Amis’ et, dans mon opinion, spécialement pour eux. Ce Prussien suprime la vie des Deux amis seulement parce qu’il aime savoir qu’il a le pouvoir de faire ce qu’il veut sans punition, et, en plus, en regardant tranquillement la réalisation d’un ordre qui vient de sa bouche mais est réalisé par la main des autres.
Le Prussien, dans ce conte, regarde, en fumant ‘une grande pipe de porcelaine’, sans un souci dans le monde, le massacre des deux Français..
Avec ces exemples on peut voir clairement qu’il y a des grandes différences entre les differents niveaux et classes sociales, pas seulement si on regarde la bourgeoisie et les classes inférieurs, mais aussi entre les hommes qui constituent l’armée d’occupation. Le fait que les officieres sont toujours décrits, plus ou moins. avec les mêmes caractèristsiques, fait que le Prussien dans Boule de de Suif peut définir le ‘typique’ membre des officiers des envahisseurs.
Cependant, même si on essaie, c’est imposible de trouver des similarités entre l’homme qui semble avoir une déficience des bons sentiments humains et les soldats Prussiens, qui constituent aussi l’armée d’occupation mais qui no’ont rien à voir avec cette définition.
Les lecteurs font la connaissance de l’armée des envahisseurs à travers les contes et les yeux de Maupassant dans ‘Boule de Suif et autres contes…’. On peut noter, dans les contes le sousis du ‘Naturaliste’ Maupassant d’observer la situation des participant avec une objectivité, même s’il était du côté Français. C’est pour cette raison que les contes donnent une image très differente selon la position du personaje décrit, et pas une vision trop généralisée à l’armée d’occupation globale.
Maupassant semble étre de l’idée que les seuls promoteurs de la guerre étaient les riches et puissant, s’ils étaient Français où Allemands. Il y a une identification de la brutalité et violence de l’invasion et occupation avec la classe d’officiers Prussiens, parce que les soldats Prussi©ens sont considérés sous une lumière très differente. On peut voir l’intervention de l’opinion de Maupassant dans les sages mots de Mme Follenvie dans ‘Boule de Suif’- ‘ça ne les amuse pas la guerre…’ quand elle parle des soldats Prussiens pauvres leer donne un aspect très humain. Elle continue avec ‘c’est les grands qui font la guerre’- autre reflet des idées de Maupassant.
Cependant, comme j’ai mentionné avant les officiers Prussiens sont generalisés et on leer attribue une image d’arrogance face aux vaincus. Ils n’ont rien à faire avec ‘les Quatre bons fils’ qui aident la Mère Sauvage ou le pacifiste extremement et même bizarrement humain, Walter Schnaffs, qui n’a aucune chose qu’il regrette moins que la bonne nourriture.
Le Prussien dans Boule de Suif est un personaje inactif, qui transmet ses ordres et désirs avec la voix de M. Follenvie. Cependant, déjà physiquement, c’est une caricature du typique membre qu’on peutÙ si’mmaginer d’un membre de l’armée d’occupation, ‘dans son uniforme comme une fille en son corset’. C’est une image ridicule, mais c’est aussi la cause du sentiment de pouvoir dans les Prussiens dans les contes de Maupassant. Le Prussien profite de sa position de pouvoir pour traiter les voyageurs comme il a envie de le faire.
Quand Loiseau essaie d’étabblir la conversation l’autre, insolent comme les gens tout puissant, le ‘regarda sans répondre’.
L’officier semble pratiquement se moquer des voyageurs. Il prend tout son temps sans dire rien, pour manger tranquillement. Il savoure le fair qu’il a ces personnes dans sa main, qui dependent compltement de ses décisions. Il blague même les croyances morales et les principes naturels dans un humain parce que, dans la position du vainqueur, il sent qu’il peut abuser de son pouvoir pour traiter les femmes du côté vaincu comme un prix, un objet ‘‘mérité’’.
L’arrogance de cet homme n’est pas trop differente à célà qui peut étre rémarquée dans l’histoire ‘Un Duel’, quand l’officier Prussien essaie de faire accepter un homme. C’est un jeu perverti. qui semble éter joué par le Prussien dans ‘Deux Amis’ et, dans mon opinion, spécialement pour eux. Ce Prussien suprime la vie des Deux amis seulement parce qu’il aime savoir qu’il a le pouvoir de faire ce qu’il veut sans punition, et, en plus, en regardant tranquillement la réalisation d’un ordre qui vient de sa bouche mais est réalisé par la main des autres.
Le Prussien, dans ce conte, regarde, en fumant ‘une grande pipe de porcelaine’, sans un souci dans le monde, le massacre des deux Français..
Avec ces exemples on peut voir clairement qu’il y a des grandes différences entre les differents niveaux et classes sociales, pas seulement si on regarde la bourgeoisie et les classes inférieurs, mais aussi entre les hommes qui constituent l’armée d’occupation. Le fait que les officieres sont toujours décrits, plus ou moins. avec les mêmes caractèristsiques, fait que le Prussien dans Boule de de Suif peut définir le ‘typique’ membre des officiers des envahisseurs.
Cependant, même si on essaie, c’est imposible de trouver des similarités entre l’homme qui semble avoir une déficience des bons sentiments humains et les soldats Prussiens, qui constituent aussi l’armée d’occupation mais qui no’ont rien à voir avec cette définition.